Dieu est fixe dans son itinérance

Dieu est fixe à l’intérieur. L’Homme l’est à l’extérieur. Je parle ici de cette notion d’ancrage mais avant tout de sérénité, de calme intérieur. Ce calme impassible aux tourments extérieurs. Car Dieu, en quelque sorte, bouge plus vite que le désir de l’Homme de figer les choses. L’instant d’après, Il est déjà autre part.

Note : les termes soulignés et en gras sont définis dans le lexique divin. Vous serez surpris de voir que certaines définitions ne correspondent en rien à votre conception actuelle.

Déconnecté de son premier amour...

J’élabore. L’Homme grave dans la pierre et fixe ce qu’il y désire fixer. C’est sa sécurité. Dieu, Lui, bouge ces mêmes pierres à Son gré. Et de ce mouvement permanent jaillit La vie ! Qu’il est difficile de le suivre lorsqu’on essaie de s’accrocher aux traces qu’Il nous laisse sur son chemin… C’est une fusée d’amour que l’Homme a devant lui. Et cet amour se moque bien de nos regards incrédules. Il passe. Nous trépassons. Et une sorte de Eh quoi ! s’imprime sur son trajet. Oui, finalement eh quoi !


L’Homme essaie de s’accrocher, de s’ancrer à l’extérieur : aux traces que Dieu laisse ou bien à toute autre forme de crochets qui lui donne cette sensation de sécurité, mais sans jamais parvenir à trouver son centre, son calme, sa paix. Or, Dieu est déjà paix. Les guerres de l’Homme sont le simple reflet de là où il se trouve. Loin de Dieu. Très loin. Eloigné et déconnecté de son premier amour, tel que le Christ l’évoque dans le Livre de l’Apocalypse, chapitre 2, verset 4. Je cite : « Mais ce que j'ai contre toi, c'est que tu as abandonné ton premier amour ! »


Comment agir dans le calme total si notre centre est si loin ? Et l’Homme y répond par toute une série de subterfuges. Toutes les béquilles se jettent à lui afin de retrouver un peu de tranquillité dans ce vacarme continue de la peur. Ces béquilles sont devenues sa vie, son identité, ce qu’il pense être. Or l’amour de Dieu ne connaît aucune peur et encore moins aucune identité. Son amour est nu. Mais ne sachant pas comment sauter dans le train, monter dans cette fusée divine, l’Homme a élaboré un monde où il trouve des repères. Mais com-prenez bien une chose : ces repères ne sont que le reflet de là où il se trouve ! Oui entendez bien, l’Homme est perdu. Totalement perdu.

Comment faire sans les en-saignements du Christ ?

Car comment faire autrement sans l’amour de Dieu ? Sans la voix ni les en-saignements du Christ ? Oui, comment faire sans la foi ? Je parle ici de la foi qui prend l’Homme aux entrailles telle une déflagration d’amour qui fait exploser tous ces mêmes repères qui nous tenaient dans un semblant de tranquillité ! Je parle ici d’une foi qu’aucune supercherie, qu’aucune déviation ne peut ni ne sait troubler. Car c’est bien cette même foi qui ancre l’Homme dans l’amour de Dieu. Car c’est bien cette foi qui rend l’Homme telle cette roche sur laquelle Dieu peut bâtir à Son gré.


J’aime citer ce passage de l’incroyable Nouveau Testament qui est bondé de cette vibration de La Bonne Nouvelle. Car le Christ et la Résurrection sont les plus belles nouvelles que l’Humanité puisse entendre. Citons donc Marc, chapitre 4, versets 35-40 selon la version de la Bible du Semeur :


"35 Ce jour-là, quand le soir fut venu, Jésus dit à ses disciples : Passons de l’autre côté du lac !36 Ils laissèrent la foule et emmenèrent Jésus sur le lac, dans le bateau où il se trouvait. D’autres bateaux les accompagnaient. 37 Or, voilà qu’un vent très violent se mit à souffler. Les vagues se jetaient contre le bateau, qui se remplissait d’eau. 38 Lui, à l’arrière, dormait, la tête sur un coussin. Les disciples le réveillèrent et lui crièrent : Maître, nous sommes perdus, et tu ne t’en soucies pas ?39 Il se réveilla, parla sévèrement au vent et ordonna au lac : Silence ! Tais-toi !Le vent tomba, et il se fit un grand calme.40 Puis il dit à ses disciples : Pourquoi avez-vous si peur ? Vous ne croyez pas encore ?"

Rester dans Sa barque...

Oui seule une foi totale donne accès à cet ancrage, à cette sérénité, à cette confiance dans l’amour du Christ. Seule une foi pleine et entière dans son Jugement lui permet de rester dans la barque du Christ sans peur aucune malgré tous les tourments extérieurs.


Dans cette incroyable scène de la barque où le Christ dort paisiblement, le Seigneur met chacun de ses apôtres, chacun de ses disciples face à lui-même, face à sa foi. Le Christ devient alors le miroir de la foi en chaque être humain, qui, face à l’adversité, aura deux choix : le premier étant celui de la foi pleine de ce courage christique indéfinissable, celui de ne pas vaciller car les miracles du Seigneur sont bien une réalité ! Oui celui de trembler, de laisser nos peurs reprendre le relais, de prendre sa propre barque. Or, ces peurs ne sont que le bien triste reflet de la foi de l’Homme, celle qui est remplie de doutes, pleines de fausses croyances qui le font vaciller, dévier de Son amour à la moindre tempête.


Car Dieu est bien fixe dans Son itinérance…

Que Dieu bénisse votre lignée et vous donne

le courage de vous reconnecter à votre âme !

Association loi 1901 à but non lucratif, La Voix de Dieu a pour objet l'épanouissement de l'être humain à travers la diffusion, la sensibilisation et l'enseignement des messages du Livre "Accepte l'amour que Je t'envoie" et notamment celui d'enseigner Dieu sans la religion et réapprendre à dialoguer avec le Plus Grand en direct...

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