La Voix de Dieu
Dieu
Rythmer la vie à travers les battements de son cœur… Tel un oiseau, le cœur bat et les élans qu’il produit s’envolent au-delà. Vous pouvez être ici et là-bas. Vous pouvez être dans cette cage et libre. Votre cœur, votre âme voyage dans l’au-delà. Et à chaque envol, elle vous ramène un peu de lumière divine, quelques étincelles de Dieu. Celles-là mêmes qui vous donnent le courage de briser l’étau dans lequel l’ego serre et retient chaque battement. Car votre cœur a des ailes. Mais encore faut-il le laisser prendre son envol, ne plus le retenir dans ce connu ? Est-ce cela une utopie ou une réalité ? Une utopie qui devient vérité pour ceux qui le retienne chaque jour un peu plus jusqu’à leur dissolution. Une réalité qui devient modalité de vie pour ceux qui font le choix de laisser leur cœur les porter toujours plus haut, vers toujours plus de lumière.
Note : les termes soulignés et en gras sont définis dans le lexique divin.
Où sont les élans de nos cœurs ?
L’élévation ! Un bien joli terme que l’on peut définir de mille façons… Mais à quoi servent toutes ces définitions si le terme n’est pas vécu dans sa totalité ? Il transmute alors en une expérience de vie qui est en soi indéfinissable. Élevons-nous. Lève-toi. Ne plus rester à genoux, à attendre une nouvelle définition, un nouvel enrobage, un nouveau nuage de fumée orchestré par la pensée, la logique ou la raison. C’est ce que Dieu nous propose : nous lever, de marcher, ne plus laisser aucune forme d’immobilisme entraver notre élévation…
Et pourtant, nous restons immobiles… Chaque élan, chaque battement, chaque « chaleur » du cœur se voit refroidir à « coups de questions, de doutes, de preuves, de résultats concluants ». Et c’est ici que nous vivons collectivement. Il fait froid, très froid à la source même de la vie. Et ce froid, cette froideur permanente embaume tout sur son passage. Nous nous y sommes habitués. Et chaque jour, nous nous voilons la face, nous l’ignorons, nous le décorons… Tout est bon pour éviter de ressentir à nouveau, ce froid. Nous nous réchauffons avec ce que nous connaissons. Pourquoi changer cela ? Pourquoi changer tout court ? Et nous sommes ainsi immobiles. Où sont les élans du cœur aujourd’hui ? Je parle ici de votre âme ? Voyage-t-elle encore ? Ses ailes battent-elles au rythme de votre cœur, au diapason de Dieu ?
Où se situe le véritable courage ?
L’homme a peur. Peur de tout. Peur de sortir une seconde dehors. Je parle ici de sa zone de confort, de ce qu’il connaît. Et ce qu’il connaît entraîne davantage de peurs. Peur de manquer d’argent, peur de vivre seul, peur de ne plus voir ses enfants, peur de ne plus avoir de relations sexuelles, peur de ne plus être reconnu ou aimé par l’autre, etc. Peur de tout. Dieu me répète « Ces peurs ne sont rien ». Car ce tout (ce que nous considérons être tout, c-à-d. nos vies), n’est rien. Je parle ici de ce tout constitué de ces peurs, de ces croyances, de ces fausses « vérités » ou dogmes, en un mot de ses lignes intérieures qu’il ne faut surtout pas franchir… « Cela serait un véritable chaos. Il est trop dangereux de sortir. »
« Il existe en chacun d’entre vous un Cœur qui désire participer au plus grand. Cherchez-le sans relâche et faites-le fleurir pour le plus haut bien de tous. »
Or, ce tout n’est qu’un simple masque, une simple couverture de survie, pour faire face à ce froid. Se dé-couvrir par ce temps serait insensé, n’est-ce pas ? Nous serions alors trop vulnérables… Mais vulnérables de quoi ou face à qui ? Ou est-ce encore une autre peur ? Où se situe le véritable courage ? « Dans le cœur » me répond-Il. Dans la source même de cette « dangereuse chaleur », de la vie, là où pour l’instant, il fait encore trop froid.
Le temps est venu
Mais le temps est venu : osons cette chaleur, ce battement de cœur qui fait voyager au-delà, qui nourrit à nouveau nos propres étincelles divines. Car Dieu est en nous. Dé-couvrons-nous, pour l’Amour de Dieu ! Vivons tous les jours un peu plus « nus ». Vous entendrez les autres dire : « attention, ce sont ces mêmes couvertures qui te maintiennent sain et sauf, bien au chaud ». Et Dieu me répond « Elles t’étouffent dans l'immense froid de toujours ». Dé-couverts, nos cœurs se réchauffent étonnamment tous les jours mieux. La vie et ses élans ne font plus peur… Et dans cette chaleur retrouvée, Dieu nourrit. La plante sacrée qui avait dépéri revient à la vie : elle pousse avec un amour d’une telle puissance qu’aucune des forces du connu ne sait entraver sa croissance, son élévation… Cela va trop vite, les voilent tombent, ils n’ont plus le temps de couvrir la plante émergée du cœur, qui se nourrit à nouveau sous le soleil divin. Que cela est bon, de sentir cette chaleur véritable ! Vibrer selon ce diapason enfoui depuis si longtemps, rayonner avec la même énergie. Réchauffer les blessures encore froides de ses semblables sans besoin de comprendre pourquoi ni comment et encore moins de recevoir leur merci. Le cœur n’a besoin d’aucune reconnaissance, à part celle de Dieu. C’est d’ailleurs la seule énergie qui le nourrit en profondeur…
Revenir en arrière, impossible. Les couvertures ont disparu. Le présent a changé. Notre plante sacrée est en plein soleil, elle brille, se nourrit et chacune de ses graines diffuse le même rayonnement, le même sourire… Celui qui désarme, celui qui réchauffe, comme par magie, les cœurs les plus froids, les plus endurcis. Celui qui fissure les carapaces les plus épaisses, les plus fibreuses. Celui qui libère l’homme de l’étau dans lequel il vit. Dieu me répète que l’humanité est prête pour la grande fissure ; les vieilles carapaces ne sont que des graines divines, elles attendent depuis si longtemps, enfouies, à l’écoute de la juste vibration. Du tremblement capable de les fissurer pour laisser enfin émerger la jeune et belle pousse. Celle de la véritable humanité. Celle du cœur.
Le nouveau monde est là. Dieu vous a plantés ici sur terre pour enfin fleurir plus beau et plus haut. Que toutes ces graines, quelles qu’elles soient, viennent enfin fissurer à l’intérieur d’elles, les parois étriquées et étouffantes, qui les maintiennent encore sans vie. Le jour est enfin venu de faire fleurir ensemble ce nouveau monde. RDV ici le 13 septembre 2023 à 19h00.
Que Dieu bénisse votre lignée et vous donne le courage de vous
reconnecter à votre Mission d’âme !
Articles populaires
Association loi 1901 à but non lucratif, La Voix de Dieu a pour objet l'épanouissement de l'être humain à travers la diffusion, la sensibilisation et l'enseignement des messages du Livre "Accepte l'amour que Je t'envoie" et notamment celui d'enseigner Dieu sans la religion et réapprendre à dialoguer avec le Plus Grand en direct...
Tel est le cœur de ce journal, proposer des articles, messages, vidéos, audios dont la vision est d'enseigner l'essence divine sacrée sans la religion ni le culte afin qu'elle transmute peu à peu en une nouvelle modalité de vie.
Les statuts de l'association sont consultables ici en format PDF.
Vous êtes sur le site du Journal de l'association loi 1901 La Voix de Dieu